vendredi, septembre 30, 2005
14h40.......5
"NooooooN"
Le cri etait suraigu.
Sa main sur ma bouche le renvoi a l'interieur.
"Ferme la petite idiote"
Il dit que je n'ai que ce que je merite.
"NooooooN"
Le cri qu'il m'a fait ravaler a voulu ressortir de mon ventre ..
mais j'ai fermé la bouche, les yeux et je me suis bouché le nez.
Il a raisoné dans tout mon corps ca a meme fait trembler mon papa, mais il est pas sorti.
Il est très en colère mon papa alors il fait pas attention au cri au fond de moi....
" Aller ....entre"
J'avais pas fini de crier et ca m'empeche d'avancer.
Y'a des veines partout sur son visage et son cou, on dirait qu'il va exploser.
J'ai envie de lui dire :" t'es tout rouge papa, maman t'as dit de faire attention a ton coeur!"
Mais c'pas trop le moment!
Mon cri a eu peur de sa voix de mechant et de sa main qui serrait trop fort mon bras.
ne m'oblige pas a te frapper" a dit le monstre dans mon papa.
Je preferais crier, maintenant j'ai peur!!!!
Dans la cave y'a pas beaucoup de lumière mais l'autre je le vois bien il est toujours la accroché sur le mur en face de moi.
J'envoi des messages avec les yeux a papa parce que je peux toujours pas parler.
"Regarde moi papa,
regarde comme j'ai peur" je lui crie
Mais ses yeux ne sont plus la.
Alors je m'agenouille comme il veut.
L'autre il saigne de partout il me fais vraiment peur.
Si je ferme les yeux je le verrais plus!
Je ferme les yeux.....
"Ouvre les yeux petite pouriture.
Regarde ce que Jesus a supporté pour sauver nos ames...
Ouvre les yeux sac a merde, raclure.
Regarde cette croix, et expie tes pechers!!!!!"
SCHLAC
SCHLAC
fait la clef dans la serrure.
Y'a plus que la lumiére de la bougie maintenant.
Je sais que ca sert a rien mais j'essaie de me retourner.
Je peux pas bouger,
Je peux pas m'assoir
dans pas longtemps mes genoux vont saigner...
Les premières fois je me souviens je pleurai
Mais mon papa il a dit que quand on a fait une grosse betise faut pas pleurnicher faut assumer.
Le cri etait suraigu.
Sa main sur ma bouche le renvoi a l'interieur.
"Ferme la petite idiote"
Il dit que je n'ai que ce que je merite.
"NooooooN"
Le cri qu'il m'a fait ravaler a voulu ressortir de mon ventre ..
mais j'ai fermé la bouche, les yeux et je me suis bouché le nez.
Il a raisoné dans tout mon corps ca a meme fait trembler mon papa, mais il est pas sorti.
Il est très en colère mon papa alors il fait pas attention au cri au fond de moi....
" Aller ....entre"
J'avais pas fini de crier et ca m'empeche d'avancer.
Y'a des veines partout sur son visage et son cou, on dirait qu'il va exploser.
J'ai envie de lui dire :" t'es tout rouge papa, maman t'as dit de faire attention a ton coeur!"
Mais c'pas trop le moment!
Mon cri a eu peur de sa voix de mechant et de sa main qui serrait trop fort mon bras.
ne m'oblige pas a te frapper" a dit le monstre dans mon papa.
Je preferais crier, maintenant j'ai peur!!!!
Dans la cave y'a pas beaucoup de lumière mais l'autre je le vois bien il est toujours la accroché sur le mur en face de moi.
J'envoi des messages avec les yeux a papa parce que je peux toujours pas parler.
"Regarde moi papa,
regarde comme j'ai peur" je lui crie
Mais ses yeux ne sont plus la.
Alors je m'agenouille comme il veut.
L'autre il saigne de partout il me fais vraiment peur.
Si je ferme les yeux je le verrais plus!
Je ferme les yeux.....
"Ouvre les yeux petite pouriture.
Regarde ce que Jesus a supporté pour sauver nos ames...
Ouvre les yeux sac a merde, raclure.
Regarde cette croix, et expie tes pechers!!!!!"
SCHLAC
SCHLAC
fait la clef dans la serrure.
Y'a plus que la lumiére de la bougie maintenant.
Je sais que ca sert a rien mais j'essaie de me retourner.
Je peux pas bouger,
Je peux pas m'assoir
dans pas longtemps mes genoux vont saigner...
Les premières fois je me souviens je pleurai
Mais mon papa il a dit que quand on a fait une grosse betise faut pas pleurnicher faut assumer.
14h21....4
Dimanche 12 Sept
C'est le cinquième meurtre en cinq mois sur lequel la police ne veut pas s'expliquer.
Que nous cachent ils?
ette histoire m'intrigue j'aimerai vraiment en savoir plus.
Pour changer de sujet car j'avoue que ce memoire sur les faits divers m'obsède, j'ai croisé l'autre soir une fort belle jeune femme.
Il m'arrive certaine nuit où je ne parviens pas a trouver le sommeil de sortir me promener.
Profiter de ce¨Paris sans parisiens!
A part les chats noctambules, les rues sont desertent et cette tranquilité m'apaise.
Poussé par un soudain desir de rentrer chez moi je pressais le pas, quand venant de ma droite , une jeune femme me percuta violement stoppée dans ce qui avait du etre une course echevelée.
Sous le choc elle laissa tomber son sac dont le contenu se deversa sur la trottoir.
A la hate elle ramassa les objets qui lui avaient echappé et elle s'eloigna sans se retourner. Je n'avais meme pas eu le temps de parler...!
J'aurait pu croire qu'elle ne m'avait pas vu tellemnt ses yeux m'ont ignorés.
Je la suivi du regard un instant voulant capturer dans ma memoire cette fragile apparition.
Quelque metre plus loin elle s'arreta. Je ne voyais que son dos, pourtnt je la sentie prendre une grande inspiration comme pour se calmer de quelque stress qui l'aurait habitée, elle remis de l'ordre a ses cheveux et repartie cette fois plus calme et l'air decidé.
Elle ouvrit la porte d'une petit batiment et s'y engouffra.
Je l'avais perdue de vue....
Ce fut si bref....
Sur le chemin qui me ramenait chez moi je pris plaisir a imaginer les raisons de la presence de cette jeune femme au beau milieu de paris en pleine nuit.
Rentrait elle de chez son amant?
Finissait elle ou commencait elle sa journée de travail?
mais peut etre fuyait elle?
Un aggresseur, un mari violent , un violeur?
Je ne lui avais meme pas proposé mon aide.
Il faut que je la revois.
C'est le cinquième meurtre en cinq mois sur lequel la police ne veut pas s'expliquer.
Que nous cachent ils?
ette histoire m'intrigue j'aimerai vraiment en savoir plus.
Pour changer de sujet car j'avoue que ce memoire sur les faits divers m'obsède, j'ai croisé l'autre soir une fort belle jeune femme.
Il m'arrive certaine nuit où je ne parviens pas a trouver le sommeil de sortir me promener.
Profiter de ce¨Paris sans parisiens!
A part les chats noctambules, les rues sont desertent et cette tranquilité m'apaise.
Poussé par un soudain desir de rentrer chez moi je pressais le pas, quand venant de ma droite , une jeune femme me percuta violement stoppée dans ce qui avait du etre une course echevelée.
Sous le choc elle laissa tomber son sac dont le contenu se deversa sur la trottoir.
A la hate elle ramassa les objets qui lui avaient echappé et elle s'eloigna sans se retourner. Je n'avais meme pas eu le temps de parler...!
J'aurait pu croire qu'elle ne m'avait pas vu tellemnt ses yeux m'ont ignorés.
Je la suivi du regard un instant voulant capturer dans ma memoire cette fragile apparition.
Quelque metre plus loin elle s'arreta. Je ne voyais que son dos, pourtnt je la sentie prendre une grande inspiration comme pour se calmer de quelque stress qui l'aurait habitée, elle remis de l'ordre a ses cheveux et repartie cette fois plus calme et l'air decidé.
Elle ouvrit la porte d'une petit batiment et s'y engouffra.
Je l'avais perdue de vue....
Ce fut si bref....
Sur le chemin qui me ramenait chez moi je pris plaisir a imaginer les raisons de la presence de cette jeune femme au beau milieu de paris en pleine nuit.
Rentrait elle de chez son amant?
Finissait elle ou commencait elle sa journée de travail?
mais peut etre fuyait elle?
Un aggresseur, un mari violent , un violeur?
Je ne lui avais meme pas proposé mon aide.
Il faut que je la revois.
14h14...... 3
Extrait de la gazette du matin du vendredi 17 sept
[....]
La police est arrivée sur les lieux tot ce matin.
Selon les dires la victime serait un homme de race blanche d'une quarantaine d'année.
Les enqueteurs n'ont pas desirés s'exprimer au sujet de cette affaire, mais un temoin aurait entendu un policier s'exclamer en sortant precipitament de l'appartement :" Putain c'est quoi cette boucherie?"
Laissant presumer de lascene d'horreur qui se jouait derriere la porte.
[....]
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La police est arrivée sur les lieux tot ce matin.
Selon les dires la victime serait un homme de race blanche d'une quarantaine d'année.
Les enqueteurs n'ont pas desirés s'exprimer au sujet de cette affaire, mais un temoin aurait entendu un policier s'exclamer en sortant precipitament de l'appartement :" Putain c'est quoi cette boucherie?"
Laissant presumer de lascene d'horreur qui se jouait derriere la porte.
[....]
13h57....... 2
"Seigneur Jesus Marie Joseph!!!!!
mais où donc etais tu passée Mathilde?"
Marie attrappa le bras de sa fille pour lui enfiler son manteau bleu marine, celui du dimanche.
Mathilde avait neuf ans . Elle paraissait tout droit sortie d'une photo du debut du siecle, un petit "pantin de naphtaline".
Les cheveux chatains coupés au carré, une robe bleu marine qui laissait apparaitre une chemisette blanche au dessous. Des chaussettes remontées jusqu'a mi mollet. La jambe se terminait par une toute petite pair de vernis a boucle, si vernis que Mathilde aurait presque pu se voir dedans.
Elle etait malgré les apparences une petite fille enjouée et espiègle, d'ailleurs regardez la tenter de cacher ses mains derriere son dos... ses genoux presentent de petites traces marrons significatives les meme que celle de ses mains salient d'avoir retourner avec allegresse la terre du jardin. Cause evidente de son retard!
Jo installé dans la voiture klaxonna un coup.
"Tu vois Mathilde tu nous mets encore en retard.
La prochaine fois je te laisse toute seule dans la maison et je t'y enferme a double tour jusqu'a notre retour."
Mais la petite fille ne craignait pas las menaces de sa mere.
Elle savait Marie stricte et intransigeante mais pas cruelle.
Lorsque Jo arreta le moteur les cloches de l'eglise sonnaient le dernier appel aux fidèles.
Marie essouflée d'avoir couru repris un instant son souffle et entra dignement dans le sanctuaire tenant Mathilde par la main. Jo les suivait de quelques pas.
Ils s'assirent sans bruit tandis que le pretre entamait son sermon.
mais où donc etais tu passée Mathilde?"
Marie attrappa le bras de sa fille pour lui enfiler son manteau bleu marine, celui du dimanche.
Mathilde avait neuf ans . Elle paraissait tout droit sortie d'une photo du debut du siecle, un petit "pantin de naphtaline".
Les cheveux chatains coupés au carré, une robe bleu marine qui laissait apparaitre une chemisette blanche au dessous. Des chaussettes remontées jusqu'a mi mollet. La jambe se terminait par une toute petite pair de vernis a boucle, si vernis que Mathilde aurait presque pu se voir dedans.
Elle etait malgré les apparences une petite fille enjouée et espiègle, d'ailleurs regardez la tenter de cacher ses mains derriere son dos... ses genoux presentent de petites traces marrons significatives les meme que celle de ses mains salient d'avoir retourner avec allegresse la terre du jardin. Cause evidente de son retard!
Jo installé dans la voiture klaxonna un coup.
"Tu vois Mathilde tu nous mets encore en retard.
La prochaine fois je te laisse toute seule dans la maison et je t'y enferme a double tour jusqu'a notre retour."
Mais la petite fille ne craignait pas las menaces de sa mere.
Elle savait Marie stricte et intransigeante mais pas cruelle.
Lorsque Jo arreta le moteur les cloches de l'eglise sonnaient le dernier appel aux fidèles.
Marie essouflée d'avoir couru repris un instant son souffle et entra dignement dans le sanctuaire tenant Mathilde par la main. Jo les suivait de quelques pas.
Ils s'assirent sans bruit tandis que le pretre entamait son sermon.
13h45 ....... 1
La lame dessina une ligne rouge dans sa chair aussi facilement qu'un stylo sur une feuille de papier.
Ses yeux etonnés plongaient dans le regard de son bourreau.
Il tenta d'articuler quelques mots mais seul un sanglant gargouilli s'echappa de sa gorge.
Un dernier souffle de vie sur la porte qui se referma guidée par une main gantée de cuir rouge.
Quelque craquements...
Le sol du sombre couloir expirait sous des pas feutrés tandis que derrière la porte trahient par un froissement de l'air les mouches commencaient a arriver.
Ses yeux etonnés plongaient dans le regard de son bourreau.
Il tenta d'articuler quelques mots mais seul un sanglant gargouilli s'echappa de sa gorge.
Un dernier souffle de vie sur la porte qui se referma guidée par une main gantée de cuir rouge.
Quelque craquements...
Le sol du sombre couloir expirait sous des pas feutrés tandis que derrière la porte trahient par un froissement de l'air les mouches commencaient a arriver.
mardi, septembre 27, 2005
jeudi, septembre 22, 2005
sans aucun doute
eh ouais j'ai bzsoin de tune alors hier j'ai fais de la figu public pour sans aucun doute
je ne sais pas quand ca va passer mais ca va me faire marrer!
70euros les potos, pour attendre que ca se passe.... quand il y en a qui vont a l'usine ....
de quoi pourrais tu te plaindre tu petite idiote????!!!!
vous me croyez ou pas mais je vous aime les loulous!!!!
et je suis tellement contente de ca!!!!
je ne sais pas quand ca va passer mais ca va me faire marrer!
70euros les potos, pour attendre que ca se passe.... quand il y en a qui vont a l'usine ....
de quoi pourrais tu te plaindre tu petite idiote????!!!!
vous me croyez ou pas mais je vous aime les loulous!!!!
et je suis tellement contente de ca!!!!
mardi, septembre 20, 2005
les potes et potettes dans la vrai vie je suis incapable de les garder.
je suis toujours a la bourre a un rendez vous quand je n'annule pas a la derniere minute ou que j'oublie tout simplement d'annuler.
"Je t'appelle cette semaine promis!"
et deja six mois sont passés!
Et la avec vous bizarement je me trouve presque ponctuelle, constante et fidele.
Ici je viens vous voir presque tous les jours et pour certain on se suit depuis mes debut sur la toile.
C'est etonnant!
je suis toujours a la bourre a un rendez vous quand je n'annule pas a la derniere minute ou que j'oublie tout simplement d'annuler.
"Je t'appelle cette semaine promis!"
et deja six mois sont passés!
Et la avec vous bizarement je me trouve presque ponctuelle, constante et fidele.
Ici je viens vous voir presque tous les jours et pour certain on se suit depuis mes debut sur la toile.
C'est etonnant!
IL EST 12h00A PARIS
folle course au travail!
c'est decidé cette audition pour la slovenie aujourd'hui a 14h , eh ben j'y vais pas et puis celle de jeudi pour un cirque en belgique et ben j'y vais pas non plus!!!
ce que ca peut soulager.!!!!
a bas les auditions!!!!
c'est decidé cette audition pour la slovenie aujourd'hui a 14h , eh ben j'y vais pas et puis celle de jeudi pour un cirque en belgique et ben j'y vais pas non plus!!!
ce que ca peut soulager.!!!!
a bas les auditions!!!!
lundi, septembre 19, 2005
il est 11h10 a PARIS
Pour ceux que ca interresse
Figurants (tes) 18 30 ans pour emissions tv.
venir de la pert de castprod.com
le lundi de 15h a 17h30 uniquement
agence idylle
164 ter rue d'Aguesseau
92100 Boulogne Billancourt
0141317474
Metro marcel samba (pres de la mairie)
1cv n°ss 2 photos d'identité 1photo de pied.
Voila les loulous bonne journée
Figurants (tes) 18 30 ans pour emissions tv.
venir de la pert de castprod.com
le lundi de 15h a 17h30 uniquement
agence idylle
164 ter rue d'Aguesseau
92100 Boulogne Billancourt
0141317474
Metro marcel samba (pres de la mairie)
1cv n°ss 2 photos d'identité 1photo de pied.
Voila les loulous bonne journée
samedi, septembre 17, 2005
il est 18h00 a paris
coup de fil tout a l'heure...
le cabaret m'informe qu'une nouvelle date est tombée.
Et alors que nous ne travaillons presque pas de la semaine les voila plein a craquer.
UN DIMANCHE!!!
CE dimanche !!!!!
Quelle misere!
vite je m'empresse de demander une remplacante....
aucun moyen de se faire remplacer.
Je suis tellement decue.......tellement decue de ne pouvoir assister au vernissage!
le cabaret m'informe qu'une nouvelle date est tombée.
Et alors que nous ne travaillons presque pas de la semaine les voila plein a craquer.
UN DIMANCHE!!!
CE dimanche !!!!!
Quelle misere!
vite je m'empresse de demander une remplacante....
aucun moyen de se faire remplacer.
Je suis tellement decue.......tellement decue de ne pouvoir assister au vernissage!
mercredi, septembre 14, 2005
mardi, septembre 13, 2005
si on s'aimait ?
Avant propos
Nous sommes si nombreux sur cette terre a lecher nos blessures!
Pourtant nous ne nous aimons guere. Souvent meme nous nous regardons sans nous voir.
Des lors, comment parler de la verité de l'amour, de ses accents passionnés, des foucades qu'il genere, des peripeties imposées par une vie partagée, des ornières du train train quotidien, des obstacles qui hérissent notre course au bonheur, sans raconter la deraison qui sommeil en chacun de nous?
Au trefond de la mouise ou du desespoir, l'homme, cet equilibriste malchanceux, ce fieffé salaud la plupart du temps, peut devenir a tout moment un clown qui se prend les pieds dans le tapis. Il tombe de sa hauteur et ca suffit. Son nez saigne. Il est raplati sur la sciure de la piste. Mais, pourvu qu'il fasse pouet pouet en cornant dans une trompinette, le voila promus heros de l'instinct de vie. Le public applaudit.
Ne gagne t il pas en drolerie lorsqu'il est boulversant? Quoi de plus comique que nos felures ? De plus etrange que nos maniaques habitudes? De plus fondant, de plus craquant que nos begaiements pour dire je t'aime?
[.....]
Il est chez n'importe quel humain, pourvu qu'on prete l'oreille au tremblé de sa voix, une drole de petite musique qui raconte mieux qu'une laboreuse explication le facon quasi comique qu'a chacun d'effacer les difficultés de la vie ou de reduire ses fractures intimes.
Gardez le tronc, jetez les branches! En obeissant a cet unique mot d'ordre, pour resister a la vacherie de l'epoque qui dejante et suppléer a la disette des ames, j'ai raclé jusqu'a l'os ces 10 nouvelles, pensant qu'elles mettraient a nu la grandeur et la misere de destins minuscules.
J'ai gardé le temp des personnages, j'ai presrevé la scansion de leur folie interieur .
[.....]
ILs ont pour ainsi dire ete gourmand de mon energie. Sans doutes parce qu'ils faisaient irruption dans l'imaginaire d'un ecrivain en un moment de l'hivers de son existence ou l'incapacité d'aimer comme un jeune homme, sa rugissante envie de mordre encore dans la vie et l'approche de la mort aiguisait l'acuité de son regard.
D'un mot j'ai reveillé ce qui bouge toujours en moi.
SI ON S'AIMAIT ?
lundi, septembre 12, 2005
il est 16h00 A PARIS
je me sens vraiment bien aujourd'hui.
peut etre ce post qui ne m'etait pas destiné mais qui a eclairé ma journée.
peut etre ce post qui ne m'etait pas destiné mais qui a eclairé ma journée.
mercredi, septembre 07, 2005
il est 22h49 a paris histoire vraie
c'est le soir,
esteban (je connais pas son prenom mais faut bien le nommer ce pauvre jeune homme) esy tranquillement installé devant la tele quand son telephone portable se met a sonner.
il decroche.....
"allo"
une voix de femme se fait entendre un souffle quelques mots....
"... j'ai composé un numero au hasard.... je ne voulai pas .....j'ai avalé toute une boite de somnifère....je suis desolée...je vous derange..."
il n'eut pas le temp de repondre elle avait deja raccroché.
aussitot il contact france telecom explique son histoire et leur donne le numero qui s'etait inscrit sur son ecran.
recherches par satellites la voici localisée!
la police se mobilise, une voiture fonce a l'adresse indiquée et en ouvrant la porte de la chambre d'hotel ou elle s'etait refugiée , ils decouvrent le corps inanimé d'une jeune femme.
sireines brancard cavalcade.... elle respire encore....tout juste...a temps....
un simple coup de fil l'avait sauvée.
esteban (je connais pas son prenom mais faut bien le nommer ce pauvre jeune homme) esy tranquillement installé devant la tele quand son telephone portable se met a sonner.
il decroche.....
"allo"
une voix de femme se fait entendre un souffle quelques mots....
"... j'ai composé un numero au hasard.... je ne voulai pas .....j'ai avalé toute une boite de somnifère....je suis desolée...je vous derange..."
il n'eut pas le temp de repondre elle avait deja raccroché.
aussitot il contact france telecom explique son histoire et leur donne le numero qui s'etait inscrit sur son ecran.
recherches par satellites la voici localisée!
la police se mobilise, une voiture fonce a l'adresse indiquée et en ouvrant la porte de la chambre d'hotel ou elle s'etait refugiée , ils decouvrent le corps inanimé d'une jeune femme.
sireines brancard cavalcade.... elle respire encore....tout juste...a temps....
un simple coup de fil l'avait sauvée.
samedi, septembre 03, 2005
il est 15h35 a paris
je pars en contrat tout a l'heure.
je rentre mardi
voyage interminable en bus ......terminus groland !
nan j'aime beaucoup la province mais serieusement des fois je vais dans le trou du cul du monde et c'est super loin je vous assure...
Groland pour ce week end c'est en suisse !
voili voilo a bientot
je rentre mardi
voyage interminable en bus ......terminus groland !
nan j'aime beaucoup la province mais serieusement des fois je vais dans le trou du cul du monde et c'est super loin je vous assure...
Groland pour ce week end c'est en suisse !
voili voilo a bientot
vendredi, septembre 02, 2005
jeudi, septembre 01, 2005
Il est 14h22 a Paris
et il fait un veritable temps de merde!
"hum.....huem...." dis la jeune fille en secouant le tete de droite a gauche malmenée par une main invisible...
"J'ai des tas d'idées qui se bousculent dans ma tete"
(Pour bien comprendre il faut imaginer tout ce monologue avec l'accent blondasse)
"Par exemple si je fais un regime sans sel, est ce que j'ai le droit de me baigner dans la mer?"
Voila l'etat de mes reflexions tres avancées sur un specimen femelle de race blanche nommée Dervenn....
UNE AUTHENTIQUE PETASSE!!!!!
"hum.....huem...." dis la jeune fille en secouant le tete de droite a gauche malmenée par une main invisible...
"J'ai des tas d'idées qui se bousculent dans ma tete"
(Pour bien comprendre il faut imaginer tout ce monologue avec l'accent blondasse)
"Par exemple si je fais un regime sans sel, est ce que j'ai le droit de me baigner dans la mer?"
Voila l'etat de mes reflexions tres avancées sur un specimen femelle de race blanche nommée Dervenn....
UNE AUTHENTIQUE PETASSE!!!!!
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