Cette petite garce s'est encore invitée
Ca c'est sur elle manque pas de toupet
Elle se pointe quelque soit le temps
Elle repart on ne sait jamais quand
En tailleur ou deshabillée
De bonne humeur ou mal lunée
Elle fume mes joints
Un verre de mon whisky a la main
Elle peut rester des heures
A me harceler
Titiller mes peurs
Saccager mes pensées
Je voudrais qu'elle pleure
ailleurs que sur mon canapé
A ce jeux destructeur
Elle finit toujours par gagner
Et quand au bout de la nuit
Elle me laisse enfin me reposer
Je dis bye bye insomnie
Et je tombe epuisée.
jeudi, décembre 07, 2006
mardi, décembre 05, 2006
Pascale pinson
Je suis allée a la cremaillère d'un pote l'autre soir
j'y ai rencontré un type absolument excecrable ,
un dragueur minable et irrespectueux mais doté d'un talent indeniable.
je ne sais pas si vous vous souvenez y'a quelque temps il a fait une expo sur la perouse. Sa dernière expo c'est sur des cinéastes genre Benex...
Faite un petit tour sur son site ca vaut le coup d'oeil.
j'y ai rencontré un type absolument excecrable ,
un dragueur minable et irrespectueux mais doté d'un talent indeniable.
je ne sais pas si vous vous souvenez y'a quelque temps il a fait une expo sur la perouse. Sa dernière expo c'est sur des cinéastes genre Benex...
Faite un petit tour sur son site ca vaut le coup d'oeil.
il est 16h50
LA MAUVAISE VOLONTE
J'ai pas appelé pour ton anniversaire
Tu m'en veux pas
c'est que j'ai la tete en l'air
Ce qui parait simple a tout le monde
Pour moi c'est vraiment compliqué
J'avais pas l'temps j'etais pressée
J'avais un film a regarder.
J'ai pas posté l'loyer au proprio
Pour mettre l'adresse
Il m'faudrait un stylo
Je ne suis pas très responsable
Ca fait six mois qu'j'dois l'envoyer
Oui mes limites sont contestables
J'preferais faire mes ongles de pieds.
J'suis pas allée a c'rendez vous d'affaire
sortie le soir
L'estomac de travers
J'ai surement du un peu trop boire
Faut bien que j'pense a m'amuser
Et la j'etais trop fatiguée
Je suis retournée me coucher.
Ce que j'voudrai pour ton anniversaire
C'est qu'tu m'appelles
Me laisse pas en galère
D'ailleurs t'as meme pas b'soin d'appeler
J'suis d'vant ta porte en train d'sonner
j'ai ma valise ma stéréo
Expulsée par mon proprio...
J'ai aussi perdu mon boulot...
allez ouvre on se les gele sur le palier...
Je sais que t'es chez toi je t'entend...
Putain pourquoi tu me laisses pas entrer...
C'est vraiment pas sympas de me laisser comme ca
j'comprend vraiment pas ce que je t'ai fais..
Ce que j'voulais pour ton anniversaire
C'est qu'tu m'appelles
Et tu m'laisses en galère
Ma tete eclatera bientot
J'ai plus d'amis j'ai plus d' boulot
Plus de maison ou me refugier
oui mais tu vois j't'ai pardonné...
Allez laisse moi entrer.
lundi, décembre 04, 2006
CORALIE
Je ne sais pas si vous vous souvenez, y'a une eternité je vous ai presenté coralie ma pote.
Quelque tableau se trouvent a l'adresse suivante:
Suivez le lien
RENE BELLETTO
Les auteurs
Chez P.O.L
Le Temps mort (2006)
Sur la terre comme au ciel (2006)
Le Revenant (2006)
Coda (2005)
Petit traité de la vie et de la mort (2003)
Mourir (2002)
Créature (2000)
Histoires d'une vie Remarques 2 (1998)
Ville de la peur (1997)
Régis Mille l'éventreur (1996)
Les Grandes Espérances de Charles Dickens (1994)
Remarques (1991)
La Machine (1990)
Loin de Lyon (1986)
L'Enfer (1986)
Chez d'autres éditeursLivres : - Le Temps mort, nouvelles, Prix Jean Ray 1974, éd. Marabout, repris en J'ai lu, collection Librio, et J'ai lu 5 F. - Les Traîtres mots ou Sept aventures de Thomas Nylkan, Flammarion, collection Textes, 1976. - Livre d'histoire, Hachette/P.O.L, 1978. - Film noir, Hachette/P.O.L, 1980. - Le Revenant, Hachette/P.O.L, 1981. Prix de l'été VSD-Radio Monte-Carlo. Egalement en Livre de poche et en J'ai lu. - Sur la terre comme au ciel, Hachette/P.O.L, 1982. Grand prix de littérature policière 1983. Livre de poche et J'ai lu. Adapté au cinéma : Péril en la demeure de Michel Deville.
René Belletto
Né le 11 septembre 1945 à Lyon 2e à l'hôpital de l'Hôtel-Dieu. Origines espagnoles et italo-françaises. Etudes de Lettres au lycée du Parc à Lyon. Journaliste à Lyon-Poche (critiques de films) sous le nom de François Labret entre 1976 et 1982 environ. Habite Paris depuis 1978. Playboy du mois dans Playboy (édition française), avril 1985 (photos p. 3 et 11, surtout celle de la p. 3, ha, ha!).
-
Chez P.O.L
Le Temps mort (2006)
Sur la terre comme au ciel (2006)
Le Revenant (2006)
Coda (2005)
Petit traité de la vie et de la mort (2003)
Mourir (2002)
Créature (2000)
Histoires d'une vie Remarques 2 (1998)
Ville de la peur (1997)
Régis Mille l'éventreur (1996)
Les Grandes Espérances de Charles Dickens (1994)
Remarques (1991)
La Machine (1990)
Loin de Lyon (1986)
L'Enfer (1986)
Chez d'autres éditeursLivres : - Le Temps mort, nouvelles, Prix Jean Ray 1974, éd. Marabout, repris en J'ai lu, collection Librio, et J'ai lu 5 F. - Les Traîtres mots ou Sept aventures de Thomas Nylkan, Flammarion, collection Textes, 1976. - Livre d'histoire, Hachette/P.O.L, 1978. - Film noir, Hachette/P.O.L, 1980. - Le Revenant, Hachette/P.O.L, 1981. Prix de l'été VSD-Radio Monte-Carlo. Egalement en Livre de poche et en J'ai lu. - Sur la terre comme au ciel, Hachette/P.O.L, 1982. Grand prix de littérature policière 1983. Livre de poche et J'ai lu. Adapté au cinéma : Péril en la demeure de Michel Deville.
René Belletto
Né le 11 septembre 1945 à Lyon 2e à l'hôpital de l'Hôtel-Dieu. Origines espagnoles et italo-françaises. Etudes de Lettres au lycée du Parc à Lyon. Journaliste à Lyon-Poche (critiques de films) sous le nom de François Labret entre 1976 et 1982 environ. Habite Paris depuis 1978. Playboy du mois dans Playboy (édition française), avril 1985 (photos p. 3 et 11, surtout celle de la p. 3, ha, ha!).
-
jeudi, janvier 05, 2006
aujourd'hui j'ai pleuré
j'ai regardé au fond de tes yeux
plus longtemps que la pudeur ne le permet
et j'y ai vu ce que je ne pourrai oublier
un silence pour un aveu
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
lorsque tes griffes se sont enfoncées dans ma chair
mon ame deja soumise, a la tienne s'entremelait
je voulais y voir la liberté , j'ai gouté a l'amour deraisonné
drole d' amours ! me blesse et me jette a terre
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
tant j'etais submergée par le grnadeur et la beauté
d'un sentiment si proche de l'absolu
envellopânt soulevant mon corps a moitié nu
reveillant en moi cet animal affamé
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
sur toi mon amour
sur ces baisers que je ne pourrai eviter
sur ces caresses que tu ne pourras detourner
sur nous mon amour
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
du fond de ma viellesse
le temps t'aura deja emporté
ce temps qui nous manque et que je hais
m'arrachant jusqu'aux promesses
et aux serments d'eternité
j'ai pleuré
j'ai regardé au fond de tes yeux
plus longtemps que la pudeur ne le permet
et j'y ai vu ce que je ne pourrai oublier
un silence pour un aveu
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
lorsque tes griffes se sont enfoncées dans ma chair
mon ame deja soumise, a la tienne s'entremelait
je voulais y voir la liberté , j'ai gouté a l'amour deraisonné
drole d' amours ! me blesse et me jette a terre
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
tant j'etais submergée par le grnadeur et la beauté
d'un sentiment si proche de l'absolu
envellopânt soulevant mon corps a moitié nu
reveillant en moi cet animal affamé
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
sur toi mon amour
sur ces baisers que je ne pourrai eviter
sur ces caresses que tu ne pourras detourner
sur nous mon amour
j'ai pleuré
aujourd'hui j'ai pleuré
du fond de ma viellesse
le temps t'aura deja emporté
ce temps qui nous manque et que je hais
m'arrachant jusqu'aux promesses
et aux serments d'eternité
j'ai pleuré
mercredi, janvier 04, 2006
MARCELINE (pour Baz)
" [...] Je sais qu'une invisible chaine
Jette son aimant entre nous :
Je sais ou finira ma peine :
Mais je vais seule au rendez vous!
La route sans fleur et sans charme
Fuira....Pour se rejoindre un jour,
Doit on passer par tant de larmes?
O menteur! o menteur d'amour!"
Seule au rendez vous 1832
Jette son aimant entre nous :
Je sais ou finira ma peine :
Mais je vais seule au rendez vous!
La route sans fleur et sans charme
Fuira....Pour se rejoindre un jour,
Doit on passer par tant de larmes?
O menteur! o menteur d'amour!"
Seule au rendez vous 1832
vendredi, décembre 23, 2005
il est 23h29
il est 22h54 a paris
L'autre jour sur le trajet du travail, sur ma chere ligne 13 j'etais assise a une des places a 6, ma place preferée celle ou je peux m'appuyer, celle tout au fond comme la dernière de la classe que j'etais, quand une belle jeune femme arabe s'assoit en face de moi.Arabe?... j'aurai pu eviter de le preciser, mais pour vous decrire sa beauté je dois vous parler de son joli teint caramel, de sa longue chevelure bouclée, de son nez droit et fierement campé, de ces entrelacements de fils de hennésur ses mains..... une femme superbe!
Mais le sujet n'eatis pas la, car entre en scene un jeune homme, 25 ansplutot petit plutot agité, il s'assoit a coté de moi.
Son telephone sonne .
sans bonjour ni comment ca va...
"t'as pas eu mon message!?
J'AI PLUS DE BATTERIE PUTAIN
t'as pas eu mon message tu fais chier je te dis que j'ai plus de batterie"
Il parle tres fort et a present il est enervé mais une colere si surjouée si fausse qu'elle en est grotesque.
"PUTAIN
PUTIAN"
Le telephone a du couper...
"PUTAIIIIIIIIIIIIN"
je n'avais pu m'empecher de l'observer. je detournais les yeux avant d'etre prise en flagrant delit de curiosité deplacée. Mes yeux croiserent ceux de la jeune femme tout aussi surprise que moi. Un petit sourir gené fut echangé.
Le type descend de la rame maugreant encore contre son interlocuteur invisible.
Deuxieme sourir... Haussement de sourcils
"Ce type est barjo" me disent ses yeux
"et c'est pas rien de le dire" ironisent les miens.
L'histoire aurait pu s'arreter ainsi quand....
"PUTAIN
PUTTTTTAIN
PUUUUTTTTTTTAIIIIIIIIN"
a quelques sieges de nous le jeune homme etait remonté et continuait son colérique couplet.
Et la une derniere fois mes yeux ont croisés ceux de la jeune femme et....
Nous avons ri, un vrai fou rire incontrolable et spontané.
A son tour elle est descendue.
Et je la remercie pour ce fabuleux moment d'intimité.
Mais le sujet n'eatis pas la, car entre en scene un jeune homme, 25 ansplutot petit plutot agité, il s'assoit a coté de moi.
Son telephone sonne .
sans bonjour ni comment ca va...
"t'as pas eu mon message!?
J'AI PLUS DE BATTERIE PUTAIN
t'as pas eu mon message tu fais chier je te dis que j'ai plus de batterie"
Il parle tres fort et a present il est enervé mais une colere si surjouée si fausse qu'elle en est grotesque.
"PUTAIN
PUTIAN"
Le telephone a du couper...
"PUTAIIIIIIIIIIIIN"
je n'avais pu m'empecher de l'observer. je detournais les yeux avant d'etre prise en flagrant delit de curiosité deplacée. Mes yeux croiserent ceux de la jeune femme tout aussi surprise que moi. Un petit sourir gené fut echangé.
Le type descend de la rame maugreant encore contre son interlocuteur invisible.
Deuxieme sourir... Haussement de sourcils
"Ce type est barjo" me disent ses yeux
"et c'est pas rien de le dire" ironisent les miens.
L'histoire aurait pu s'arreter ainsi quand....
"PUTAIN
PUTTTTTAIN
PUUUUTTTTTTTAIIIIIIIIN"
a quelques sieges de nous le jeune homme etait remonté et continuait son colérique couplet.
Et la une derniere fois mes yeux ont croisés ceux de la jeune femme et....
Nous avons ri, un vrai fou rire incontrolable et spontané.
A son tour elle est descendue.
Et je la remercie pour ce fabuleux moment d'intimité.
il est 12h08 a paris
Marilyne
Num%3F%3Friser0003 Originally uploaded by Jean-Pol Lefebvre. Tu regardes ta toute petite. La mienne a déjà quelques années de plus. Elle marche et parle avec l’immense talent qui sera le sien. La tienne se débrouille pas mal avec de grands rires que ponctuent des phrases inachevées. Elle sent le vent. Tu as vraiment imaginé avoir un enfant qui sent le vent. Tu es de la chance, un enfant qui sent le vent de la Dordogne et du bordelais, c’est la liberté de vivre assurée. L’air du large qui se faufile entre narine et poitrine. Tu as de la chance, un enfant du vent.Comme tous les enfants du vent, elle a roulé du sud-est à la ville. Ces voyages qui font mal à tous et qui cassent le cœur avant de le sceller dans le plomb. Ces voyages qui aboutissent toujours dans des chambres de partages ou de solitudes. Des lieux où les choses et les gens traînent avant de vivre.Tu devrais regarder ta toute grande. La mienne a déjà cessé de croître. Elle marche et parle avec l’immense talent qui est le sien. La tienne s’étend, se déplie, s’envole, sourit. Elle est le vent. Tu as vraiment imaginé avoir un enfant qui est le vent. Qui s’engouffre dans la vie des autres comme un courant d’air sec.Comme tous les vents, elle s’est trouvé des déserts à lever, des jachères à redorer. Elle a roulé de Paris à ses quartiers, des grandes avenues aux impasses, des illusions aux confusions. Comme tous les vents, elle a creusé ses sillons, ses chemins. Ces voyages qui aboutissent à des petits matins barbares et rauques. Des lieux où les gens vivent avant de se traîner.Grande, elle finit par se dire que d’autres vents la rattrapent. Grande, nous devrions lui dire qu’elle y arrive enfin. Que nous sommes petits tant elle est devenue grande.
posted by Jean-Pol Lefebvre at 9:55 PM 0 comments
mercredi, décembre 21, 2005
17h42 a paris
lundi, décembre 19, 2005
ne pas baisser les bras
le moral dans les talons.
l'energie ...pfuit... partie, envolée.
je me perd, je me lasse je me desespere..
je suis si fatiguée de lutter.
fatiguée des secrets qui me rongent
je n'en peux plus
l'energie ...pfuit... partie, envolée.
je me perd, je me lasse je me desespere..
je suis si fatiguée de lutter.
fatiguée des secrets qui me rongent
je n'en peux plus
jeudi, décembre 08, 2005
lundi, décembre 05, 2005
il est 14h20 a paris
mon corps ne me fait plus mal. A raison de trois seances par semaines je vais rapidement venir a bout des derniéres traces. Jusqu'a la prochaine crise....
Sinon beaucoup de boulot mais du bon!
J'ai bossé avec l'ancien chorégraphe d'Elie kakou et c'etait fabuleux. Un tout petit bonhomme un peu farfelu et plein de richesses. J'ai pris tellemnt de plaisir. Et puis c'est agréable de tomber sur quelqu'un qui ne te juge pas qui te prend tel que tu es avec tes defauts et qui fait en sorte de te sublimer . non pas que je veuille dire par la qu'il m'a rendu genialissime, mais je me suis vraiment sentie mise en valeur.Un vrai bon metteur en scene. Pour ceux que ca interresse il joue en ce moment dens clinic mais je ne sais plus ou!
Sinon beaucoup de boulot mais du bon!
J'ai bossé avec l'ancien chorégraphe d'Elie kakou et c'etait fabuleux. Un tout petit bonhomme un peu farfelu et plein de richesses. J'ai pris tellemnt de plaisir. Et puis c'est agréable de tomber sur quelqu'un qui ne te juge pas qui te prend tel que tu es avec tes defauts et qui fait en sorte de te sublimer . non pas que je veuille dire par la qu'il m'a rendu genialissime, mais je me suis vraiment sentie mise en valeur.Un vrai bon metteur en scene. Pour ceux que ca interresse il joue en ce moment dens clinic mais je ne sais plus ou!
lundi, novembre 14, 2005
Il est 11h38 ET LA VIE CONTINUE
Christophe m'a envoyé un message l'autre jour , il a bien sur entendu parlé des emeutes et il s'inquiètait du silence de notre mere. La vérité c'est qu'on lui manque! Le Canada c'est loin!
Et sa vie n'est surement pas telle qu'il la revait. Leur couple ne va pas mieux et les enfants se retrouvent une fois de plus face aux disputes aux silences, face a ce quotidien destructeur. Alexis redeveloppe son hyperactivité et on le calme a coup de medicaments . Elisa devient de plus en plus tyrannique et arrogante.
Il n'y a pas un message sans que je leur dise a tous combien je les aime et que je suis pres d'eux quoi qu'il se passe.
Debut 2006 je refais le chemin au dessus de l'atlantique pour les serrer dans mes bras ..... Et pourquoi pas au detour d'une rue de montréal croiser miss erzulie ....
J'ai racompagné Camille a la gare. sa nouvelle vie a la campagne se passe bien parait il.... "elle a un amoureux tu comprends ca lui change la vie le grand air!" Elle passe tout son temps chez sa copine ou dehors pour eviter d'etre chez elle, elle veut integrer un pentionnat.... mais a part ca.....?.....tout va bien! Elle me racontait qu'un soir ou sa mere et son beau pere s'engueulait elle est sortit de sa chambre pour leur demander de se calmer " il m'a attrappé par les cheveux pour me faire sortir de la piece et il m'a giflé"... ....?????......!!!!!!!
Quant a valentin il remonte a paris une fois toute les trois semaines pour voir son papa!
On s'est serré tres fort..... et je n'ai rien trouvé de mieux a lui dire que "moi j'aime pas les ados" elle a ri et m'a repondu "ca tombe bien j'aime pas les adultes " on a ri ensemble , c'est une blague entre nous et elle est partie.
Je suis rentrée en metro et j'ai regardé les gens autour de moi cet ouvrier qui terminait sa journée de travail, les ongles sales les vetements maculés de poussière et de peinture je ne sais pas pourquoi je me suis mise a penser que chez lui ca devait sentir bon le repas fait maison, que le diner devait etre animé ,toute la famille reuni autour de la table, j'ai pensé au repos bien merité de celui qui a travaillé dur toute la journée.
Et puis ces trois jeunes filles ,des amis! l'une d'elles devait repartir chez elle en provine, elle portait un enormes sac de voyage, une jeune fille un peu ronde, un peu masculine avec de belles joues rosies par l'excitation, elle parlaient fort , jouait des mains, riaiit d'un rire franc et genereux tandis que ses copines semblaient desechées maigres le teint gris, l'allure provinciale parisiannisée. elles tentaient desperement d'effacer les traces de leurs origines, d'eliminer cette copine d'enfance qui divulguait leur provinciale passé.
Elles repondaient a la joie de vivre de leur amie par petites onomatopées detachées "hum hum ...ben oui" quelques petits sourirs genés puis le silence...
J'avais honte pour elles j'aurait voulu parler a cette jeune fille, m'assurer qu'elle ne se sentait pas diminuée par leur comportement mais elles sont descendues et pis je crois que je n'aurais rien dit de toutes facons.
Et tout ceci m'a fait penser a vos posts decrivant les trajets de retour du boulot enfin j'ai pensé a vous a ceux que je vous aimez a la manière dont vous les aimez et je vous ai trouvé encore plus beau que d'habitude....et je me suis dit que ca n'etait rien mais que je leur donnai tout ce que j'avais a donné et c'est deja pas mal!!!!
Et puis je pense a toi alex qui a le courage de te remettre en question, de faire bouger ta vie, de depasser tes limites et de titiller celles de la société. Toujours attentif , plein de tendresse, et d'une touchante discretion...
Et je pense a kevin et a son immense pouvoir a venir.....
Et je pense a vous tous, a vos encourageants messages ....
je ne vais pas mourir demain (ou peut etre ecrasée par un bus)
Mais Le jour ou je mourrai je voudrai qu'on ecrive sur ma tombe
Et sa vie n'est surement pas telle qu'il la revait. Leur couple ne va pas mieux et les enfants se retrouvent une fois de plus face aux disputes aux silences, face a ce quotidien destructeur. Alexis redeveloppe son hyperactivité et on le calme a coup de medicaments . Elisa devient de plus en plus tyrannique et arrogante.
Il n'y a pas un message sans que je leur dise a tous combien je les aime et que je suis pres d'eux quoi qu'il se passe.
Debut 2006 je refais le chemin au dessus de l'atlantique pour les serrer dans mes bras ..... Et pourquoi pas au detour d'une rue de montréal croiser miss erzulie ....
J'ai racompagné Camille a la gare. sa nouvelle vie a la campagne se passe bien parait il.... "elle a un amoureux tu comprends ca lui change la vie le grand air!" Elle passe tout son temps chez sa copine ou dehors pour eviter d'etre chez elle, elle veut integrer un pentionnat.... mais a part ca.....?.....tout va bien! Elle me racontait qu'un soir ou sa mere et son beau pere s'engueulait elle est sortit de sa chambre pour leur demander de se calmer " il m'a attrappé par les cheveux pour me faire sortir de la piece et il m'a giflé"... ....?????......!!!!!!!
Quant a valentin il remonte a paris une fois toute les trois semaines pour voir son papa!
On s'est serré tres fort..... et je n'ai rien trouvé de mieux a lui dire que "moi j'aime pas les ados" elle a ri et m'a repondu "ca tombe bien j'aime pas les adultes " on a ri ensemble , c'est une blague entre nous et elle est partie.
Je suis rentrée en metro et j'ai regardé les gens autour de moi cet ouvrier qui terminait sa journée de travail, les ongles sales les vetements maculés de poussière et de peinture je ne sais pas pourquoi je me suis mise a penser que chez lui ca devait sentir bon le repas fait maison, que le diner devait etre animé ,toute la famille reuni autour de la table, j'ai pensé au repos bien merité de celui qui a travaillé dur toute la journée.
Et puis ces trois jeunes filles ,des amis! l'une d'elles devait repartir chez elle en provine, elle portait un enormes sac de voyage, une jeune fille un peu ronde, un peu masculine avec de belles joues rosies par l'excitation, elle parlaient fort , jouait des mains, riaiit d'un rire franc et genereux tandis que ses copines semblaient desechées maigres le teint gris, l'allure provinciale parisiannisée. elles tentaient desperement d'effacer les traces de leurs origines, d'eliminer cette copine d'enfance qui divulguait leur provinciale passé.
Elles repondaient a la joie de vivre de leur amie par petites onomatopées detachées "hum hum ...ben oui" quelques petits sourirs genés puis le silence...
J'avais honte pour elles j'aurait voulu parler a cette jeune fille, m'assurer qu'elle ne se sentait pas diminuée par leur comportement mais elles sont descendues et pis je crois que je n'aurais rien dit de toutes facons.
Et tout ceci m'a fait penser a vos posts decrivant les trajets de retour du boulot enfin j'ai pensé a vous a ceux que je vous aimez a la manière dont vous les aimez et je vous ai trouvé encore plus beau que d'habitude....et je me suis dit que ca n'etait rien mais que je leur donnai tout ce que j'avais a donné et c'est deja pas mal!!!!
Et puis je pense a toi alex qui a le courage de te remettre en question, de faire bouger ta vie, de depasser tes limites et de titiller celles de la société. Toujours attentif , plein de tendresse, et d'une touchante discretion...
Et je pense a kevin et a son immense pouvoir a venir.....
Et je pense a vous tous, a vos encourageants messages ....
je ne vais pas mourir demain (ou peut etre ecrasée par un bus)
Mais Le jour ou je mourrai je voudrai qu'on ecrive sur ma tombe
C'EST PAS GRAVE!!!!
ET QUE LA VIE CONTINUE!!!!!
Alors vous en faite pas pour moi!
lundi, novembre 07, 2005
il est 13h28 a paris
je vais a l'hopital jeudi.
Mon medecin dit que les traitements simples ne suffisent plus!
Je les ai totalement arrétés et les douleurs ont repris leurs droits.
Mon corps n'est que brulures, ma peau redevient carapace....
Je disparait doucement derriere le monstre qu'elle fait de moi!
Mon medecin dit que les traitements simples ne suffisent plus!
Je les ai totalement arrétés et les douleurs ont repris leurs droits.
Mon corps n'est que brulures, ma peau redevient carapace....
Je disparait doucement derriere le monstre qu'elle fait de moi!
Inscription à :
Articles (Atom)